Partis d’une réflexion sur les efficiences respectives de l’interprétation, de la construction et d’autres modalités d’intervention, nous l’avons infléchie vers un questionnement des limites de l’analysable .
Les différences formelles de cadre (divan, face à face, nombre de séances, etc ) ne sont pas indépendantes du cadre psychique interne de l’analyste et de la façon dont les patients peuvent l’attaquer et l’utiliser. Le contre-transfert condense une réponse à la névrose de transfert et des mouvements propres à l’analyste. Dans certains cas sont à l’œuvre des « transferts limites » qui nécessitent une technique adaptée que nous chercherons à partir de la clinique des participants et de la lecture d’auteurs ( Freud, Winnicott, Bion, Green, et d’autres).