Société Psychanalytique de Paris

Décès de Gérard Noir (1947 – 2024)

Nous apprenons avec grande tristesse le décès, le mercredi 23 octobre, de notre collègue Gérard Noir, à l’âge de 77 ans. Psychiatre, adhérent à la SPP depuis 2009, il a été un clinicien passionné, profondément engagé et attaché aux valeurs du service public, d’abord à Maison Blanche, puis à l’Institut Claparède, et enfin plus récemment … Lire la suite

Quatre nouveaux membres

La SPP se réjouit d’accueillir quatre nouveaux membres adhérents agréés par le Conseil d’Administration : du 1er octobre 2024: – Hélène Da Rocha – Dominique Le Gal – Vésiane de Truchis Ramière du 3 décembre 2024: – Olivier Galès

Regard psychanalytique sur les états de conscience modifiés

A l’automne 2021, un article du Monde consacré à Corine Sombrun annonçait la création d’un nouveau Diplôme Universitaire, consacré aux états de « transe » et aux « états de conscience modifiés ». Je recevais à l’époque depuis quelques semaines, une nouvelle patiente ayant vécu une « expérience de mort imminente », expérience qui avait radicalement changé son rapport au monde.

Les racines archaïques des addictions sexuelles

Depuis une vingtaine d’années, je consacre une partie de mes recherches cliniques, psychopathologiques et métapsychologiques à la compréhension des modalités de fonctionnement psychiques des addictions sexuelles ainsi qu’à une réflexion à propos des aménagements techniques des dispositifs thérapeutiques.

« Mourir d’écrire, de Rachel Rosenblum » par Marika Bourdaloue et Paul Denis

Dire, écrire le traumatisme peut-il s’avérer, non pas une élaboration salvatrice, mais une ré-évocation mortifère, y compris dans une cure psychanalytique ? Le livre : Rachel Rosenblum, Mourir d’écrire ?, Paris, PUF, 2019 Bibliographie podcast Mourir d’écrire R.Antelme, L’espèce humaine, Paris, Gallimard, 1957 M.Cohen, À des Années – Lumière, Paris, Fario, 2013 S.T. Coleridge, The Rime … Lire la suite

Institutions désenchantées

La notion de contre-transfert a largement évolué au fil du temps. Tout d’abord perçu par Freud comme un obstacle à la cure, le contre-transfert a fini par s’imposer comme un outil des plus précieux pour l’avancée de la cure et l’exploration de la dynamique processuelle.